Le livre

Site internet officiel du livre « Djem, un prince dans la tourmente ».

« Djem, un prince dans la tourmente », retrace la vie adulte de ce seigneur, fils de Mehmet II, le Conquérant de Constantinople.

A la mort du sultan, Djem et son frère Bajazet s’affrontent pour la succession au trône. Se plaçant sous la protection des moines de l’Ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem alors Chevaliers de Rhodes, Djem sera amené à sillonner la France et l’Italie et se trouvera être l’enjeu de singulières intrigues politiques.

Traversant un monde occidental en pleine mutation, il rencontrera ces grands personnages qui marqueront leur temps : le roi de France Charles VIII, les papes Innocent VIII et Alexandre VI Borgia, mais d’autres aussi tel Jean Burchard, maître des cérémonies à la cour pontificale, soutien indéfectible de l’Église de Rome.

Ce livre est le fruit de cinq ans de recherches historiques de Maurice CARON, déjà auteur de la Chronologie des Hospitaliers.

Djem, un prince dans la tourmente, pourrait bien devenir l’ouvrage de référence de la vie tumultueuse de ce prince ottoman dont la descendance est aujourd’hui nombreuse sur tous les continents.

Türbe où repose Djem, à Bursa, en Anatolie

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Djem repose à Bursa, au Sud de la ville, à flanc de colline dans le complexe Muradiye qui compte quarante sarcophages appartenant à des membres de la famille impériale, répartis dans douze türbes. Depuis l’entrée qui est gardée, celui du prince est le 5e.
Une simple plaque sur son sarcophage ainsi qu’à l’extérieur du turbe, portant la mention : « CEM SULTAN », signale en ce lieu la présence de Djem.

Les sarcophages sont des plus sobres : aucune décoration, aucune inscription n’y figurent. Quant aux bâtiments, ils sont pour la plupart très simples, sauf celui du sultan Djem, magnifiquement décoré. La partie basse est entièrement revêtue de carreaux de céramique bleu-vert dont le centre est orné d’une rosace dorée. La partie haute est dans sa totalité (dôme compris) recouverte de superbes décorations dignes des plus beaux monuments ottomans : enduits peints aux motifs verts et rouges d’arabesques ou de végétaux. Les vitraux, à armatures de stuc, sont très colorés.
Le complexe, qui n’est pas très grand, est planté de nombreux arbres qui apportent le calme et la paix qu’on y attend.

La traduction de français en anglais a été réalisée par :    Pierre Le Duff 06.47.76.64.51        pierre.le-duff@hotmail.de

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